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MSC croisières reçoit la distinction « biosafe ship » de rina qui certifie l’atténuation des risques d’infection à bord

MSC Croisières renforce ses références en matière de santé et de sécurité en obtenant la certification « Biosafe Ship » attribuée par la société de classification RINA pour le MSC Grandiosa qui opère actuellement en Méditerranée.

RINA, avait précédemment vérifié que le protocole respecte les directives de l’Agence Européenne pour la Sécurité Maritime (EMSA) ainsi que celles du Centre Européen de Prévention et de Contrôle des maladies qui incluent des normes sanitaires supplémentaires, notamment celles de l’action commune des « Healthy Gateways » de l’Union Européenne.

Cette vérification a été un élément essentiel du processus permettant le redémarrage des opérations en Méditerranée cet été, puisqu’elle a permis de montrer que le protocole était en cohérence avec les directives des autorités européennes.

La distinction « Biosafe ship » décernée au MSC Grandiosa se base sur des objectifs certifiant que le navire est équipé de systèmes, de composants et de procédures opérationnelles qui permettent de réduire le risque d’infection.

Le MSC Grandiosa effectue actuellement sa huitième croisière consécutive avec à son bord des passagers venus exclusivement des pays de l’Espace Schengen. Le MSC Magnifica devrait accueillir à nouveau ses hôtes à partir du 19 octobre et proposera des croisières de 10 nuits à travers la Méditerranée occidentale et orientale.

Le protocole d’exploitation complet de MSC Croisières sera mis en place sur ces deux navires, et s’appuie sur des mesures de santé et de sécurité déjà rigoureuses et en place depuis longtemps à bord des navires de la Compagnie. Les nouvelles procédures incluent des tests de dépistage au COVID-19 pour tous les hôtes et les membres d’équipage avant l’embarquement ainsi que des excursions uniquement organisées pour les hôtes MSC Croisières, afin de garantir une protection supplémentaire, et l’introduction d’un plan de protection COVID-19 pour plus de sérénité. Avec toutes ces mesures en place, la Compagnie vise à offrir aux passagers les vacances les plus sûres possible.

Le protocole d’exploitation de MSC Croisières a été élaboré par un groupe de travail inter-fonctionnel composé d’experts internes spécialisés dans différents domaines : services médicaux, santé publique, assainissement, services hôteliers, climatisation, autres systèmes d’ingénierie à bord des navires, technologies de l’information et de la logistique, MSC Croisières s’est également adjoint les services d’un cabinet d’experts de renommée mondiale, Aspen Medical, pour l’aider à développer son propre protocole.

MSC Croisières a également réunit un groupe d’experts « BLUE-RIBBON COVID » afin de soutenir ses actions sur le long terme. Ce groupe est composé de :

  • Professeur Christakis Hadjichristodoulou, professeur d’hygiène et d’épidémiologie à la faculté de médecine et Vice-Président, de l’École des Sciences de la Santé à l’Université de Thessalie en Grèce ;
  • Professeur Stephan J. Harbarth, épidémiologiste hospitalier, spécialiste des maladies infectieuses et chef du programme de gestion des anti-microbiens aux Hôpitaux universitaires de Genève (HUG) et à la Faculté de médecine ;
  • Docteur Ian Norton, médecin spécialiste des urgences, titulaire de diplômes de troisième cycle en chirurgie, santé internationale et médecine tropicale, actuellement Directeur Général de ‘Respond Global’ et anciennement Chef du programme des équipes médicales d’urgence de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) de 2014 à 2020.

MSC Croisières a travaillé pour englober tous les aspects du voyage, de la réservation à l’embarquement, en passant par la vie à bord et le retour à la maison, tout en préservant le caractère unique de l’expérience.

Pour en savoir plus sur les nouvelles mesures de santé et de sécurité élaborées par MSC Croisières, rendez-vous sur ce lien.

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Les 7 mesures proposées par le maire de Nice pour réduire les locations saisonnières de « 50% minimum »

D’après le journal Nice-Matin, le maire de Nice, Christian Estrosi, souhaite renforcer les restrictions sur les locations saisonnières. Lors d’une conférence de presse tenue le jeudi 14 novembre, il a dévoilé sept nouvelles mesures visant à réduire de « 50% minimum » le nombre de logements proposés sur des plateformes comme Airbnb.

Déjà connue pour son engagement dans la régulation des locations saisonnières, Nice entend s’appuyer sur la récente loi « anti-Airbnb », adoptée le 7 novembre, pour aller encore plus loin dans cette lutte.

Christian Estrosi a rappelé son objectif de mettre en place une réglementation stricte afin de préserver l’accès des habitants à des logements de longue durée. Ce nouveau plan repose sur une étude d’impact réalisée par la Métropole Nice Côte d’Azur, incluant une cartographie détaillée des quartiers.

« Je ne souhaite pas interdire les meublés touristiques mais éviter qu’ils submergent la ville. Mon but n’est pas de pénaliser les particuliers qui louent une chambre pour compléter leurs revenus, mais de contrer les entreprises qui monopolisent un bien commun essentiel pour les Niçois », a-t-il précisé.

Les 7 mesures envisagées :

  1. Quotas par quartier : Les propriétaires dépassant ces quotas devront compenser en transformant un local de surface équivalente en logement.
  2. Durée des autorisations réduite : Les autorisations temporaires seraient ramenées de six à cinq ans.
  3. Réduction du nombre de jours autorisés : Les résidences principales ne pourraient plus être louées plus de 90 jours par an, contre 120 actuellement.
  4. Maintien des dispositifs dérogatoires : Le modèle mixte, permettant une location touristique estivale et un usage étudiant le reste de l’année, serait conservé.
  5. Documents obligatoires pour les propriétaires : Fourniture d’un diagnostic de performance énergétique (DPE) conforme et d’une attestation sur l’honneur du respect du règlement de copropriété lors de la demande de changement d’usage.
  6. Amendes renforcées : Des sanctions administratives pouvant atteindre 20 000 euros, avec des majorations en cas de récidive.
  7. Zones spécifiques dans le PLU : Création de secteurs limitant les locations saisonnières aux seules résidences principales via le Plan Local d’Urbanisme.

Ces mesures visent à contenir l’impact des locations touristiques sur le marché immobilier local et à préserver l’équilibre entre tourisme et qualité de vie des résidents permanents.

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Le voilier Croisière Orient Express Corinthian : l’élégance maritime redéfinie

Cent quarante ans après ses premiers trains de luxe, la légende Orient Express s’étend avec le lancement d’Orient Express Corinthian, le plus grand voilier au monde, prêt à réinventer l’art du voyage en mer. Fruit d’une collaboration inédite entre Accor, les Chantiers de l’Atlantique et LVMH, ce navire allie un design innovant et une propulsion hybride avancée, en réponse aux défis écologiques.

Prévu pour juin 2026, ce bijou de technologie et de style vogue entre Méditerranée, Adriatique et Caraïbes. Construit avec la technologie « SolidSail », le voilier combine l’énergie vélique et le gaz naturel liquéfié (GNL) pour réduire son empreinte environnementale. Doté de trois mâts inclinables et d’une surface de voilure de 4 500 m², il peut atteindre 17 nœuds, propulsé uniquement par le vent.

Avec des suites allant de 45 à 230 m², Orient Express Corinthian assure intimité et confort de haut niveau. Le design, signé par Maxime d’Angeac, intègre bois, cuir et marbre, rappelant l’âge d’or de l’Orient Express et le raffinement artisanal français.

Les passagers auront accès à cinq restaurants, huit bars, un cabaret Art déco, une marina avec activités nautiques, et un couloir de nage de 16,6 m sur le pont supérieur. Ce navire incarne un retour au voyage lent, redéfinissant le luxe sur mer avec des escales choisies pour leur beauté et leur authenticité.

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Dès mars 2025, un « visa » obligatoire pour se rendre au Royaume-Uni

À partir de mars 2025, les voyageurs français, italiens et monégasques devront obtenir un ETA (Electronic Travel Authorization) pour se rendre au Royaume-Uni. Cette mesure entrera en vigueur le 2 avril 2025.

Qui sera concerné ?

Initialement, l’ETA était destiné aux ressortissants du Qatar, du Bahreïn, du Koweït, d’Arabie Saoudite et de Jordanie. Cependant, cette exigence sera étendue à d’autres nationalités à partir de l’année prochaine. Plus précisément, le système ETA sera introduit pour tous les visiteurs du Royaume-Uni qui n’ont actuellement pas besoin de visa pour des séjours de courte durée, y compris les ressortissants européens.

Comment ça marche ?

L’ETA est un document similaire à l’ESTA des États-Unis. Pour obtenir l’ETA britannique, il suffit de télécharger l’application dédiée ou de se rendre sur le site Internet. Le coût de l’ETA est de 10 livres sterling, soit environ 12 euros, et il sera valable deux ans à compter de sa délivrance. En cas de refus de l’ETA, il faudra alors faire une demande de visa.

Que permet l’ETA ?

Avec l’ETA, le gouvernement britannique autorise une durée de séjour maximale de 6 mois pour le tourisme, les visites familiales et amicales, les affaires ou les études de courte durée. De plus, l’ETA permet une durée de séjour de 3 mois pour les travailleurs créatifs avec un visa de travail, pour des engagements rémunérés autorisés, ou pour transiter par le Royaume-Uni, même sans passer par le contrôle aux frontières britanniques.

Pourquoi une telle mise en place ?

Selon le gouvernement britannique, cette mesure permettra d’améliorer les « connaissances sur les personnes qui cherchent à venir au Royaume-Uni et d’empêcher les personnes qui représentent une menace ».

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