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Amadeus Sherpa a pour but de remplacer les dépliants et cartes papiers dans les Hôtels

Amadeus Sherpa est une plateforme de distribution B2B pour connecter, agréger et distribuer les expériences de destination via les canaux les plus appropriés, à un coût abordable. Tout comme aucun alpiniste n’envisagerait de gravir un sommet sans son Sherpa de confiance à ses côtés, son homonyme chez Amadeus espère également devenir un assistant, un guide et un facilitateur pour chacun des acteurs de l’écosystème des excursions et activités.

Ouvrir les hôtels à de nouvelles opportunités de revenus

Bien que n’étant pas le seul canal de promotion et de vente d’activités, l’hôtel est l’un des plus importants, et c’est pourquoi Amadeus s’est focalisés en priorité sur ce canal avec Amadeus Sherpa.

Distribuer des activités peut permettre aux hôtels d’obtenir une source supplémentaire de revenus, non négligeable dans la situation actuelle. Ils peuvent en effet percevoir une commission sur les activités réservées à la suite de leurs recommandations. La plupart des voyageurs réservent leurs activités à la dernière minute, généralement une fois qu’ils sont à destination, et font confiance aux hôteliers en les qualifiant de source locale et fiable d’informations. Les hôtels sont donc dans une position idéale pour fidéliser leurs clients en offrant ce type de service, très précieux pour les voyageurs.

Amadeus Sherpa est une plateforme simple et efficace qui permet à l’hôtelier de regrouper dans une sélection à la fois les activités principales ainsi que de nombreuses autres activités moins connues. Amadeus Sherpa offre un catalogue complet d’expériences à destination. Cette solution vient ainsi supprimer les multiples dépliants et cartes que l’on trouve généralement à la réception de l’hôtel. 

Mettre les prestataires d’activités en avant

Le marché des excursions et activités est très fragmenté et sous-développé en termes de distribution numérique. 

80% des réservations sont toujours effectuées de manière non digitale une fois à destination. En effet, la plupart des prestataires d’activités n’ont pas une offre standardisée ni digitalisée, ce qui nuit à leur visibilité et ne contribue pas à développer correctement leur activité. Ils doivent donc aujourd’hui s’adapter aux nouvelles attentes des voyageurs, offrant la possibilité de réserver et payer en ligne.

Une plateforme telle qu’Amadeus Sherpa aidera les prestataires d’activités à gagner en visibilité auprès des voyageurs et à obtenir plus de réservations.

Aider les agrégateurs de contenu à se développer

Les excursions et activités constituent un secteur diversifié et complexe avec plus d’une centaine de sous-catégories. Il est difficile de s’attendre à ce qu’un seul agrégateur couvre de manière exhaustive les options disponibles pour une destination particulière. En fait, la plupart des agrégateurs recherchent en permanence des capacités de sélection, de différenciation et de personnalisation de contenu, ainsi que de nouvelles sources de revenus.

Amadeus Sherpa propose de donner aux agrégateurs de contenu accès à une plateforme plus grande, en ajoutant des capacités de personnalisation et de gestion des données. Ceci pour garantir que la transmission au voyageur des offres soit faite de manière plus ciblée et personnalisée.

Comment la plateforme Amadeus Sherpa se situe au cœur du marché des activités à destination

En résumé, la plateforme Amadeus Sherpa va accélérer la transformation numérique du secteur des activités à destination en améliorant la connectivité des prestataires d’activité, en permettant l’échange d’informations à travers l’écosystème et en offrant des capacités de personnalisation élevées aux hôteliers. 

En fin de compte, le plus important pour les voyageurs d’aujourd’hui est d’avoir un accès facile à un choix diversifié d’activités locales et authentiques. Amadeus Sherpa contribue à offrir aux voyageurs l’expérience la plus fluide et complète à chaque étape de leurs voyages.

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Hausse de la taxe sur les billets d’avion : ce qui va changer

La taxe de solidarité sur les billets d’avion (TSBA) revient avec un nouveau barème après plusieurs rebondissements politiques.

Un retour controversé

Après avoir été suspendue lors de la motion de censure, la hausse de la TSBA fait son retour dans le budget 2025, qui sera présenté le 3 février. Initialement, Air France et d’autres compagnies avaient anticipé une hausse importante, mais le Sénat avait ensuite ajusté les montants avant que le gouvernement ne soit renversé.

Les nouveaux tarifs

  • L’augmentation s’appliquera à tous les vols au départ de France.
  • Le nouveau barème a été décidé par la Commission mixte paritaire.
  • Les compagnies aériennes devront verser cette taxe pour tout voyage effectué à partir du 1er janvier 2025, même pour les billets émis avant le vote de la loi.

Voici un tableau comparatif des montants de la taxe :

DestinationClasseAncien montantNouveau montant
Europe et FranceÉconomique2,63 €7,40 €
Europe et FranceAffaires20,27 €30 €
IntermédiaireÉconomique7,51 €15 €
Longue distanceÉconomique7,51 €40 €
Longue distanceAffaires63,07 €120 €

Des questions en suspens

Les professionnels du voyage s’inquiètent des changements de dernière minute et des remboursements du trop-perçu par les compagnies. Par ailleurs, l’Europe pourrait contester l’exonération pour l’Outre-Mer et la Corse.

Avec cette hausse, l’État espère récupérer 800 à 850 millions d’euros, tout en accordant un crédit d’impôt pour l’achat de carburants durables. Reste à voir comment les compagnies et les voyageurs réagiront.

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Christian Estrosi signe son arrêté contre les bateaux de croisière

Le maire de Nice et président de la Métropole, Christian Estrosi, annonce (article Nice-Matin du 24/01/2025) qu’il signera ce vendredi un arrêté interdisant le débarquement et l’embarquement des bateaux de croisière de plus de 900 passagers dans les gares maritimes de la Métropole.

Une interdiction qui fait débat

Lors de ses vœux, Christian Estrosi avait surpris en annonçant vouloir bannir les plus gros navires dès cet été. Son objectif : lutter contre le sur-tourisme et la pollution engendrée par ces « hôtels flottants ».

« Je ne veux pas que des bateaux qui polluent et dont les passagers ne consomment rien, mais laissent leurs déchets, viennent à Nice. On a empêché le béton d’étouffer la ville, ce n’est pas pour laisser le sur-tourisme prendre le relais. »

Si cette décision est saluée par l’opposition écologiste, elle prend de court Villefranche-sur-Mer, principal port concerné. Son maire, Christophe Trojani, affirme n’avoir pas été informé de cette mesure qui pourrait lourdement impacter l’économie locale.

Une application encore floue

La Métropole ne peut pas interdire les bateaux de mouiller dans la rade, compétence relevant de l’État. En revanche, elle contrôle l’accès à la gare maritime de Villefranche, et c’est là qu’elle compte agir.

« Si les croisiéristes ne peuvent plus débarquer, les compagnies seront dissuadées de s’arrêter ici. »

Reste à voir si tous les maires du littoral suivront cette initiative, qui divise déjà élus et acteurs du tourisme.

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Les 7 mesures proposées par le maire de Nice pour réduire les locations saisonnières de « 50% minimum »

D’après le journal Nice-Matin, le maire de Nice, Christian Estrosi, souhaite renforcer les restrictions sur les locations saisonnières. Lors d’une conférence de presse tenue le jeudi 14 novembre, il a dévoilé sept nouvelles mesures visant à réduire de « 50% minimum » le nombre de logements proposés sur des plateformes comme Airbnb.

Déjà connue pour son engagement dans la régulation des locations saisonnières, Nice entend s’appuyer sur la récente loi « anti-Airbnb », adoptée le 7 novembre, pour aller encore plus loin dans cette lutte.

Christian Estrosi a rappelé son objectif de mettre en place une réglementation stricte afin de préserver l’accès des habitants à des logements de longue durée. Ce nouveau plan repose sur une étude d’impact réalisée par la Métropole Nice Côte d’Azur, incluant une cartographie détaillée des quartiers.

« Je ne souhaite pas interdire les meublés touristiques mais éviter qu’ils submergent la ville. Mon but n’est pas de pénaliser les particuliers qui louent une chambre pour compléter leurs revenus, mais de contrer les entreprises qui monopolisent un bien commun essentiel pour les Niçois », a-t-il précisé.

Les 7 mesures envisagées :

  1. Quotas par quartier : Les propriétaires dépassant ces quotas devront compenser en transformant un local de surface équivalente en logement.
  2. Durée des autorisations réduite : Les autorisations temporaires seraient ramenées de six à cinq ans.
  3. Réduction du nombre de jours autorisés : Les résidences principales ne pourraient plus être louées plus de 90 jours par an, contre 120 actuellement.
  4. Maintien des dispositifs dérogatoires : Le modèle mixte, permettant une location touristique estivale et un usage étudiant le reste de l’année, serait conservé.
  5. Documents obligatoires pour les propriétaires : Fourniture d’un diagnostic de performance énergétique (DPE) conforme et d’une attestation sur l’honneur du respect du règlement de copropriété lors de la demande de changement d’usage.
  6. Amendes renforcées : Des sanctions administratives pouvant atteindre 20 000 euros, avec des majorations en cas de récidive.
  7. Zones spécifiques dans le PLU : Création de secteurs limitant les locations saisonnières aux seules résidences principales via le Plan Local d’Urbanisme.

Ces mesures visent à contenir l’impact des locations touristiques sur le marché immobilier local et à préserver l’équilibre entre tourisme et qualité de vie des résidents permanents.

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