L’aLe Montafon est un domaine skiable autrichien ciblé pour les familles et les sportifs. Les récents investissements montent en gamme les prestations et les infrastructures pour le bonheur de ses clients.
Située à 620 km de Nice, à l’ouest de l’Autriche, dans la vallée du Vorarlberg, Silvretta Montafon est une station de ski familiale à la hauteur des exigences varoises maralpines. Les skieurs et les snowboarders ont à leur disposition 117 km de pistes et 23 km de sentiers. La station de sports d’hiver accueille chaque année plusieurs milliers de visiteurs venus profiter de la beauté de ses paysages.
Pour un séjour réussi
Le domaine ouvre cette année du 2 décembre au 16 avril 2023 pour le bonheur des vacanciers amoureux de l’or blanc. Silvretta Montafon réunit toutes les souhaits pour un séjour réussi : des kilomètres de pistes pour tous les niveaux et d’excellentes conditions de ski. La qualité des infrastructures autrichiennes et le bon enneigement de la station permettent à la station de se hisser sur le podium des meilleures stations du Vorarlberg. Le confort des visiteurs est constamment amélioré grâce à des nouveautés et des perfectionnements tels que l’aménagement de la télécabine Panorama.
À 2.430 mètres d’altitude, les conditions pour la pratique des sports d’hiver restent idéales entre le début de l’hiver et le printemps. Que vous soyez un skieur chevronné, un amateur de sensations fortes ou simplement un amoureux de la nature à la recherche de belles promenades en famille, Montafon satisfera vos vacances à la neige.
Et pour les amoureux d’espaces blanc qui veulent diversifier leur plaisir en quête d’aventures, ils pourront toujours profiter des balades en raquettes. D’autre part, la station programme de nombreux événements phares comme la Coupe du monde de boardercross organisée par la FIS ou des concerts avec des artistes renommés à l’occasion de l’ouverture de la saison.
Le Vorarlberg dispose d’une diversité environnementale à vous couper le souffle.
La diversité naturelle des paysages vous étonnera : la plaine côtoie les montagnes, les rivières, les tourbières et des forêts qui s’étendent à perte de vue. Dans l’ensemble, la province se targue de disposer pas moins de 39 parcs protégés « Natura 2000 ».
Environnement récréatif
Magnifique, le Vorarlberg est connu en tant que zone de loisirs de premier plan, aussi bien en hiver qu’en été. Les amoureux de la nature continuent de plébisciter les endroits calmes et isolés du Land.
Environnement culturel
L’art est une dynamique qui a sa place au sein du Vorarlberg. Comme tel, la province met souvent en œuvre des stratégies audacieuses et des projets innovants. L’art contemporain en bois met en scène l’architecture, le design et l’artisanat autrichien. Les festivals de musique tels que le Festival de Bregenz et le Schubertiade sont connus dans le monde entier, mais il existe de nombreux autres événements culturels de haut niveau qui se déroulent du printemps à l’hiver.
Neige garantie pour votre séjour à Montafon
Si vous hésitiez encore pour votre séjour au ski en Autriche, vous saurez que la vallée du Voralberg est connue pour sa condition optimale de neige. Elle dispose d’une saison d’au moins 100 jours par an et d’une épaisseur de neige de 30 cm minimum. Même Frau Holle, dans les contes de Grimm y faisait référence pour narrer les scènes avec des décors couverts de neige.
Pratique
Y ALLER ◗ En avion : vols réguliers directs Nice-Zurich (110 à 270 euros A/R) ou Nice-Munich (200 à 550 euros A/R). À l’aéroport, vous pouvez louer une voiture (environ 180 euros la semaine) ou commander un taxi jusqu’à Montafon (comptez quand même plus de 400 euros). Depuis l’aéroport de Zurich, train de nuit (26 à 40 euros) + bus (5 à 8 euros. ◗ En voiture : 8 h 00 de trajet (600 kilomètres), en passant par l’Italie et la Suisse. ◗ En train : Nice-Landeck (correspondances à Milan et Zurich), 13 h 30 de trajet (188 euros A/R) puis prendre le train pour la gare de Zurich et enfin Schruns (1h30).
Hausse de la taxe sur les billets d’avion : ce qui va changer
La taxe de solidarité sur les billets d’avion (TSBA) revient avec un nouveau barème après plusieurs rebondissements politiques.
Un retour controversé
Après avoir été suspendue lors de la motion de censure, la hausse de la TSBA fait son retour dans le budget 2025, qui sera présenté le 3 février. Initialement, Air France et d’autres compagnies avaient anticipé une hausse importante, mais le Sénat avait ensuite ajusté les montants avant que le gouvernement ne soit renversé.
Les nouveaux tarifs
L’augmentation s’appliquera à tous les vols au départ de France.
Les compagnies aériennes devront verser cette taxe pour tout voyage effectué à partir du 1er janvier 2025, même pour les billets émis avant le vote de la loi.
Voici un tableau comparatif des montants de la taxe :
Destination
Classe
Ancien montant
Nouveau montant
Europe et France
Économique
2,63 €
7,40 €
Europe et France
Affaires
20,27 €
30 €
Intermédiaire
Économique
7,51 €
15 €
Longue distance
Économique
7,51 €
40 €
Longue distance
Affaires
63,07 €
120 €
Des questions en suspens
Les professionnels du voyage s’inquiètent des changements de dernière minute et des remboursements du trop-perçu par les compagnies. Par ailleurs, l’Europe pourrait contester l’exonération pour l’Outre-Mer et la Corse.
Avec cette hausse, l’État espère récupérer 800 à 850 millions d’euros, tout en accordant un crédit d’impôt pour l’achat de carburants durables. Reste à voir comment les compagnies et les voyageurs réagiront.
Christian Estrosi signe son arrêté contre les bateaux de croisière
Le maire de Nice et président de la Métropole, Christian Estrosi, annonce (article Nice-Matin du 24/01/2025) qu’il signera ce vendredi un arrêté interdisant le débarquement et l’embarquement des bateaux de croisière de plus de 900 passagers dans les gares maritimes de la Métropole.
Une interdiction qui fait débat
Lors de ses vœux, Christian Estrosi avait surpris en annonçant vouloir bannir les plus gros navires dès cet été. Son objectif : lutter contre le sur-tourisme et la pollution engendrée par ces « hôtels flottants ».
« Je ne veux pas que des bateaux qui polluent et dont les passagers ne consomment rien, mais laissent leurs déchets, viennent à Nice. On a empêché le béton d’étouffer la ville, ce n’est pas pour laisser le sur-tourisme prendre le relais. »
Si cette décision est saluée par l’opposition écologiste, elle prend de court Villefranche-sur-Mer, principal port concerné. Son maire, Christophe Trojani, affirme n’avoir pas été informé de cette mesure qui pourrait lourdement impacter l’économie locale.
Une application encore floue
La Métropole ne peut pas interdire les bateaux de mouiller dans la rade, compétence relevant de l’État. En revanche, elle contrôle l’accès à la gare maritime de Villefranche, et c’est là qu’elle compte agir.
« Si les croisiéristes ne peuvent plus débarquer, les compagnies seront dissuadées de s’arrêter ici. »
Reste à voir si tous les maires du littoral suivront cette initiative, qui divise déjà élus et acteurs du tourisme.
Les 7 mesures proposées par le maire de Nice pour réduire les locations saisonnières de « 50% minimum »
D’après le journal Nice-Matin, le maire de Nice, Christian Estrosi, souhaite renforcer les restrictions sur les locations saisonnières. Lors d’une conférence de presse tenue le jeudi 14 novembre, il a dévoilé sept nouvelles mesures visant à réduire de « 50% minimum » le nombre de logements proposés sur des plateformes comme Airbnb.
Déjà connue pour son engagement dans la régulation des locations saisonnières, Nice entend s’appuyer sur la récente loi « anti-Airbnb », adoptée le 7 novembre, pour aller encore plus loin dans cette lutte.
Christian Estrosi a rappelé son objectif de mettre en place une réglementation stricte afin de préserver l’accès des habitants à des logements de longue durée. Ce nouveau plan repose sur une étude d’impact réalisée par la Métropole Nice Côte d’Azur, incluant une cartographie détaillée des quartiers.
« Je ne souhaite pas interdire les meublés touristiques mais éviter qu’ils submergent la ville. Mon but n’est pas de pénaliser les particuliers qui louent une chambre pour compléter leurs revenus, mais de contrer les entreprises qui monopolisent un bien commun essentiel pour les Niçois », a-t-il précisé.
Les 7 mesures envisagées :
Quotas par quartier : Les propriétaires dépassant ces quotas devront compenser en transformant un local de surface équivalente en logement.
Durée des autorisations réduite : Les autorisations temporaires seraient ramenées de six à cinq ans.
Réduction du nombre de jours autorisés : Les résidences principales ne pourraient plus être louées plus de 90 jours par an, contre 120 actuellement.
Maintien des dispositifs dérogatoires : Le modèle mixte, permettant une location touristique estivale et un usage étudiant le reste de l’année, serait conservé.
Documents obligatoires pour les propriétaires : Fourniture d’un diagnostic de performance énergétique (DPE) conforme et d’une attestation sur l’honneur du respect du règlement de copropriété lors de la demande de changement d’usage.
Amendes renforcées : Des sanctions administratives pouvant atteindre 20 000 euros, avec des majorations en cas de récidive.
Zones spécifiques dans le PLU : Création de secteurs limitant les locations saisonnières aux seules résidences principales via le Plan Local d’Urbanisme.
Ces mesures visent à contenir l’impact des locations touristiques sur le marché immobilier local et à préserver l’équilibre entre tourisme et qualité de vie des résidents permanents.