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Les croisières redémarrent

Costa Croisières a repris la mer samedi à Savone, dans le sillage de l’autre géant européen MSC. Un signal positif pour ce secteur au régime sec depuis le début de la pandémie. Sous quelles conditions ? À quel prix ? Embarquement.

Larguez les amarres ! » Voilà si longtemps qu’ils attendaient ce moment. Enfin, les amateurs de croisières ont pu embarquer samedi à Savone, à bord du Costa Smeralda, navire amiral de la compagnie italienne. Les Français devaient attendre la levée des restrictions de déplacements pour prendre un prochain départ.

« C’est reparti ! » Fanny Dos Santos, responsable de l’agence Nice Azur Voyages rive gauche à Nice, exprime le soulagement de toute une profession. Costa qui repart, c’est un feu vert pour le monde de la croisière. D’autant que le 1er mai aussi, le MSC Seaside s’élançait de Gênes. Il rejoint le MSC Grandiosaqui a repris la mer dès la fin janvier.

Les deux géants européens n’ont pas encore déployé toute leur flotte. Cet été, leur horizon se limitera essentiellement à la Méditerranée. Et à l’Italie pour débuter. « Mais ça donne espoir pour la suite, témoigne Fanny Dos Santos. Ça y est, on souffle un peu. Il y a plus de mouvements. Ça remotive tout le monde. Notre métier, c’est de conseiller, pas d’annuler ! »

Nouvelle donne

Pour l’heure, la croisière ne s’amuse pas comme avant. Le taux d’occupation des navires est limité à 70 %. Les tests Covid sont obligatoires en amont, tout comme les masques à bord. Délicat équilibre entre sécurité sanitaire et viabilité économique. Mais les compagnies s’adaptent. Les clients aussi.

« Ils font beaucoup plus de concessions qu’avant sur les destinations ou le choix de cabines,remarque Fanny Dos Santos. Il y a vraiment de l’attente. Des clients nous appellent pour dire : “C’est bon, je suis vacciné, on part !” »

Economiquement, l’enjeu est de taille pour un secteur qui a perdu 77 milliards de dollars (!) entre mars et septembre 2020. Selon le Comité régional du tourisme, la France métropolitaine a accueilli 3,7 millions de croisiéristes en 2017. La Côte d’Azur en est la deuxième bénéficiaire, derrière Marseille. Les ports de Cannes et Villefranche-sur-Mer occupent les 4e et 5e rangs nationaux. Antibes, Golfe-Juan et Monaco sont aussi en lice. Et Nice est la deuxième tête de ligne derrière Marseille.

Certains s’interrogeront sur la pertinence de ces géants de mer énergivores par temps d’urgence climatique. Ou assimileront ce type de vacances à une forme de confinement. Mais les habitués n’en ont cure. D’autant que certains ont thésaurisé pendant les confinements. Et ils comptent bien se faire plaisir, au moins pour le premier voyage, estime Fanny Dos Santos. « Quand ça va reprendre, ça va reprendre très fort ! »

Comment Costa relance la machine ?

Dans quelles conditions redémarre une machine telle que Costa croisières ? Explications croisées de son directeur général France, Raffaelle D’Ambrosio, et d’un porte-parole de la compagnie italienne.

La flotte se relance

Honneur au « petit » dernier de la flotte. Le Costa Smeralda, 2600 cabines, prend la mer quasi flambant neuf : il a été inauguré début 2020. Sa première croisière en 2021 restera 100 % italienne, à destination de la Sicile et de la Sardaigne. Mi-mai, leCosta Luminosa mettra le cap sur la Grèce. Deux autres navires les imiteront dans la foulée.

Les croisières Costa avaient vogué de septembre à décembre derniers. Reprendre la mer, « on n’attendait que ça !, s’exclame Raffaelle D’ambrosio. Mais dans notre enthousiasme, nous n’oublions pas que notre priorité est la sécurité de tous. » Au menu : « La vie d’avant, suivant le protocole sanitaire. On se retrouve au restaurant, ou au spectacle, mais dans un esprit de responsabilité. »

Le protocole sanitaire

Mieux vaut arriver tôt avant d’embarquer. Un laboratoire mobile attend les passagers sur le terminal, pour pratiquer un test antigénique. En cas de test positif, un test PCR s’ensuit. S’il est à son tour positif, impossible d’embarquer. Et les contacts sont retracés.

Une fois à bord, le protocole sanitaire vise au respect de la distanciation sociale. Cela implique une jauge réduite – à ce stade, les compagnies la fixent à 70 %. Le port du masque est obligatoire. Les repas sont servis à table et non au buffet. L’accès à la piscine ou au spa est soumis, là encore, à des jauges et réservations. « Tout est réglementé pour gérer les flux et organiser les loisirs à bord », explique un porte-parole Costa. En outre, les équipes médicales sont renforcées et proposent des tests PCR à bord. Une assurance Covid est également prévue.

Voyage dans une bulle

« L’idée, c’est qu’un bateau est une bulle sanitaire, résume Raffaelle D’Ambrosio. Même les excursions sont soumises à un protocole strict. Les guides sont testés, les clients ne peuvent pas descendre à terre tous seuls… » Un porte-parole justifie ce maintien d’une bulle jusque dans les visites organisées : « C’est rassurant pour les populations comme pour les visiteurs. »

Des contraintes aussi drastiques ne tuent-elles pas la magie du voyage ? « On s’est interrogé », concède Raffelle D’Ambrosio. Mais les retours des clients face aux évolutions sont, selon lui, « très positifs ».

Des prix stables

Pour inciter à larguer les amarres, Raffaelle D’Ambrosio distingue trois arguements phares : « Un protocole sanitaire robuste, des conditions de changement sur douze mois, et la cabine balcon au prix de la cabine extérieur. » Hormis ce geste, ne pas s’emballer : « Notre choix, c’est de maintenir les prix du passé. Pas de les casser. Nous essayons d’être les champions du rapport qualité/prix. »

Engagement durable

Les prix ne changent pas, mais les intentions environnementales, si. Conscient que le monde a évolué à plus d’un titre, Costa met en avant son navire « le plus vert ». Le Costa Smeralda carbure au GNL (gaz naturel liquéfié). De quoi réduire l’impact environnemental de ces colosses des mers, voraces en énergies fossiles. « C’est une façon de confirmer notre engagement précurseur sur le développement durable », justifie Raffaelle D’Ambrosio.

Proximité à l’horizon

Le Costa Semralda, justement, prévoit d’accoster à Marseille à partir du 4 juillet. Et même « dès que possible ». Il compte aussi revoir Barcelone ou Palma de Majorque.

Cet été, l’horizon de Costa se limitera à la Méditerranée, explique Raffaelle D’Ambrosio. « À court terme, notre objectif est de nous concentrer sur les vacances de proximité. Et de redémarrer progressivement. »

Les Caraïbes et les Emirats figurent au menu de l’hiver prochain. Toutes les réservations sont ouvertes pour 2022 et 2023. C’est à cet horizon que Costa vise « une situation qui ressemble davantage à la normalité. On reste optimistes, mais très réalistes », tempère Raffaelle D’Ambrosio. Il n’oublie pas que la crise a durement affecté les finances de bien des ménages.

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Pour les grandes vacances, découvrez Innsbruck, l’autre ville Olympique

Les vacances d’été ne font que commencer et comme chaque année, vous vous demandez où passer un séjour agréable et dépaysant sans se ruiner.
Alors que les projecteurs seront braqués sur Paris pour les Jeux Olympiques d’été 2024, il y a une autre destination qui mérite votre attention : Innsbruck, la capitale du Tyrol en Autriche. Voici pourquoi vous devriez envisager de visiter Innsbruck pendant la période des JO de Paris 2024.

Une Destination Olympique

La ville n’est pas étrangère aux Jeux Olympiques. La ville a accueilli les Jeux Olympiques d’hiver à deux reprises, en 1964 et en 1976, et a également été l’hôte des premiers Jeux Olympiques de la Jeunesse d’hiver en 2012. En visitant Innsbruck pendant les JO de Paris 2024, vous pourrez revivre l’histoire olympique de la ville et découvrir ses sites olympiques emblématiques.


Innsbruck n’est seulement qu’à 8 heures en voiture ou 5 heures en avion, ce qui constitue un excellent choix pour passer des vacances en famille.

Une Alternative aux Foules de Paris

Les Jeux Olympiques attirent des millions de spectateurs et de touristes. Si vous cherchez à échapper à la foule et au tumulte de Paris pendant les JO, Innsbruck pourrait être l’alternative parfaite. Vous pourrez profiter d’une atmosphère plus détendue et d’une expérience de voyage plus intime.

Une Expérience de Sports d’Été

Il y a toutes sortes de randonnées à faire à proximité d’Innsbruck. Vous pourrez aussi vous adonner aux plaisirs du vélo ou de l’escalade dans les magnifiques Alpes. En même temps, grâce au glacier de Stubai, vous pouvez skier même en plein été !

Une Richesse Culturelle et Historique

Innsbruck est une ville où l’histoire, la culture et les paysages alpins spectaculaires se rencontrent. Que vous soyez amateur de sports, passionné d’histoire ou amoureux de la nature, Innsbruck et ses environs offrent une multitude d’attractions à ne pas manquer, comme le Palais Impérial, le Petit Toit d’Or, la Cathédrale Saint-Jacques, et bien plus encore.

Une Proximité avec d’Autres Destinations Européennes

Innsbruck est idéalement située au cœur de l’Europe, ce qui facilite les voyages vers d’autres destinations européennes. Si vous souhaitez combiner votre voyage avec d’autres villes, Innsbruck est à proximité de Munich, Zurich, Milan et bien d’autres.

Une Célébration de la Culture Tyrolienne

Le Tyrol est connu pour sa culture unique, ses traditions et sa cuisine. En visitant Innsbruck pendant les JO de Paris 2024, vous aurez l’occasion de découvrir et de célébrer la culture tyrolienne, de goûter à sa cuisine traditionnelle et de participer à ses festivals et événements.

Les 15 activités à faire absolument à Innsbruck

1. Le Palais Impérial (Hofburg)

Le Palais Impérial d’Innsbruck est un joyau de l’architecture baroque, ayant autrefois servi de résidence aux Habsbourg. Les visiteurs peuvent explorer les fastueuses salles de réception, le musée des appartements impériaux et la chapelle royale. Chaque pièce témoigne d’une partie de l’histoire impériale autrichienne.

2. Le Petit Toit d’Or (Goldenes Dachl)

Emblème d’Innsbruck, le Petit Toit d’Or est une loggia décorée de tuiles dorées, érigée pour célébrer le mariage de l’empereur Maximilien Ier. Situé dans la vieille ville, il abrite un musée consacré à l’histoire impériale et à Maximilien Ier.

3. La Cathédrale Saint-Jacques (Dom zu St. Jakob)

Cette cathédrale baroque est réputée pour son intérieur somptueusement décoré, ses fresques impressionnantes et son orgue majestueux. Elle abrite également le tombeau d’Andreas Hofer, héros de la révolte tyrolienne contre les troupes napoléoniennes.

4. Le Musée de l’Art Populaire Tyrolien (Tiroler Volkskunstmuseum)

Ce musée propose une immersion fascinante dans la culture et les traditions tyroliennes. Les expositions présentent des costumes traditionnels, des meubles anciens, des objets artisanaux et des scènes de vie quotidienne d’antan.

5. L’Alpenzoo

Niché sur le flanc de la montagne, l’Alpenzoo est l’un des zoos les plus élevés d’Europe. Il héberge une grande variété d’espèces animales alpines, offrant une occasion unique de découvrir la faune locale dans un cadre naturel exceptionnel.

6. Le tremplin à Ski du Bergisel (Bergisel Sprungschanze)

Cette installation sportive moderne, dessinée par l’architecte Zaha Hadid, est un lieu incontournable pour les amateurs de sports d’hiver. En plus des compétitions de saut à ski, la plateforme d’observation (restaurant Bergisel Sky) offre une vue panoramique à couper le souffle sur Innsbruck et les Alpes environnantes.

7. Les Téléphériques Nordkette

Accessible directement depuis le centre-ville, le téléphérique Nordkette vous transporte en quelques minutes à 2300 mètres d’altitude. De là, vous pouvez admirer des vues spectaculaires, faire des randonnées, ou vous détendre dans les refuges de montagne. Vous y trouverez aussi un très bon restaurant à mi-parcours : le Seegrube

8. Le Château d’Ambras (Schloss Ambras)

Situé à la périphérie d’Innsbruck, ce château Renaissance est réputé pour ses collections d’art, d’armures et de curiosités. Les jardins du château sont également un endroit idéal pour se promener et se détendre.

9. La Vieille Ville (Altstadt)

Se promener dans les rues pavées de la vieille ville d’Innsbruck est une expérience incontournable. Avec ses bâtiments colorés, ses boutiques pittoresques, ses cafés et restaurants, c’est un lieu où l’histoire et la modernité cohabitent harmonieusement.

10. Le Musée militaire (Kaiserjägermuseu)

C’est un musée consacré à l’histoire des Kaiserjäger, les chasseurs alpins de l’armée autrichienne. Il présente une collection unique d’uniformes, d’armes, d’équipements et de souvenirs historiques, offrant un aperçu fascinant de la vie et des exploits de ces soldats d’élite.

11. Le Musée des Cloches (Glockenmuseum)

C’est un musée unique en son genre. Il abrite une vaste collection de cloches de différentes époques et régions, offrant aux visiteurs une expérience sonore et culturelle fascinante. Vous y découvrirez l’histoire, la fabrication et la signification des cloches dans la culture tyrolienne. Un endroit très ludique que les enfants apprécieront.

12. Le funiculaire d’Innsbruck (Hungerburgbahn)

Le Hungerburgbahn, est un funiculaire qui relie le centre-ville d’Innsbruck au quartier de Hungerburg. Conçu par l’architecte Zaha Hadid, il offre une vue panoramique époustouflante sur la ville et les montagnes environnantes, tout en étant une œuvre d’art architectural en soi. Il permet d’atteindre l’entrée du téléphérique Nordkette.

13. La randonnée Zirbenweg

C’est une randonnée facile à 2 000 mètres d’altitude arborée avec des pins cembro dont certains sont centenaires. Tout du long, les randonneurs profitent d’un cadre sublime, avec vue sur la vallée de l’Inn. Arrivée au Patscherkofel lors des Jeux olympiques d’hiver de 1964 et 1976, cette montagne a accueilli les épreuves de descente alpine.

14. La piste de Bobsleigh (Olympia Eiskanal)

Dès 1935, cette piste de glace olympique accueillit pour la première fois des championnats du monde sur ce qui était alors une piste naturelle. En vue des Jeux olympiques de 1964 à Innsbruck, deux pistes séparées de glace artificielle furent construites pour les épreuves de bobsleigh et de luge – elles étaient alors parmi des plus impressionnantes au monde. À l’occasion des Jeux olympiques de 1976, on remplaça les deux tubes par une piste combinant bobsleigh, luge et skeleton. Cette installation sportive, première piste combinée au monde, servit de modèle à bien des futures pistes de glace artificielle, de bob et de luge.

15. Les Cristalleries Swarovski (Swarovski Kristallwelten)

Situé à Wattens, à quelques kilomètres d’Innsbruck, ce musée est consacré à l’univers étincelant des cristaux Swarovski. Les chambres des merveilles, les installations artistiques et les jardins offrent une expérience magique et féerique.

Comment s’y rendre ?

1. En Avion

Le moyen le plus rapide pour se rendre à Innsbruck depuis Nice est de prendre l’avion. L’aéroport d’Innsbruck (INN) est desservi par Austrian ou Lufthansa, avec une correspondance à Vienne ou à Munich (transfert par bus). Le temps de vol total, y compris l’escale, est d’environ 4 à 5 heures. Le coût peut varier de 265€ à 470€.

2. En Train

Si vous préférez admirer les paysages pendant votre voyage, le train est une excellente option. La durée du trajet en train de Nice à Innsbruck est d’environ 10 à 12 heures, avec plusieurs correspondances. Vous pouvez prendre un train de Nice à Milan, puis de Milan à Innsbruck.

4. En Voiture

Si vous aimez l’aventure et la flexibilité, vous pouvez également conduire de Nice à Innsbruck. Le trajet en voiture dure environ 8 heures, en fonction du trafic et des conditions routières. Vous aurez l’occasion de traverser de magnifiques paysages alpins et de vous arrêter dans des villes pittoresques en cours de route.

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Visitez le tremplin de ski Bergisel à Innsbruck

Le tremplin de Bergisel est un site emblématique situé à Innsbruck, en Autriche. Il est l’un des tremplins les plus importants de la Coupe du monde de saut à ski. Chaque année, il accueille la troisième étape de la Tournée des quatre tremplins. Ce site offre une vue imprenable sur la ville d’Innsbruck et ses environs.

Le tremplin olympique a été rénové en 2002 par l’architecte Zaha Hadid.

Il fait partie des tremplins les plus prestigieux de la Coupe du monde de saut à ski et accueille annuellement la troisième étape de la Tournée des quatre tremplins.

La première compétition officielle sur ce tremplin en bois a eu lieu en 1920. En 1964, le tremplin a été rénové pour devenir le tremplin principal des Jeux olympiques d’hiver de 1964, tandis que le tremplin Toni Seelos de Seefeld servait de tremplin secondaire. Ces deux tremplins ont également été le théâtre d’épreuves olympiques lors des Jeux olympiques d’hiver de 1976. Les dernières modifications apportées au tremplin de Bergisel remontent à 2003.

Il est devenu une attraction sportive et touristique. Les amateurs de sports d’hiver peuvent profiter d’une expérience unique tout en admirant la beauté des montagnes environnantes.

Horaires d’ouverture :

  • De juin à octobre : tous les jours (sauf le lundi et le mardi) de 9 h à 18 h
  • De novembre à mai : tous les jours (sauf le mardi) de 10 h à 18 h

Le stade est accessible à pied depuis le parking du Musée des chasseurs impériaux (Kaiserjägermuseum, Bergisel 1, 6020 Innsbruck, Autriche). Le prix du stationnement pour une voiture est de 3,40 € pour 90 minutes

Pour plus d’informations, vous pouvez consulter le site officiel du tremplin de Bergisel.

N’hésitez pas à visiter ce lieu unique si vous êtes de passage à Innsbruck.

BERGISEL STADION
Bergiselweg 3, 6020  Innsbruck

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Coupe du monde d’escalade : triple victoire japonaise à Innsbruck

Le Japon a remporté vendredi 28 juin un triplé historique lors de la Coupe du monde de bloc masculin à Innsbruck, sous la houlette de Sohta Amagasa.

Meichi Narasaki et Sorato Anraku ont décroché respectivement les deuxième et troisième places lors de la compétition de vendredi soir, devant une foule de 3 000 spectateurs en liesse. Au total, quatre Japonais ont atteint la finale à six.

Le Tyrolien Jakob Schubert, favori local, n’a pas réussi à se qualifier pour les demi-finales mercredi soir.

Les qualifications et les demi-finales se poursuivront le samedi, tandis que les places sur le podium seront en jeu le dimanche. Outre Schubert, Jessica Pilz, qui a terminé cinquième de la compétition de bloc jeudi, vise également une place sur le podium.

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