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Actualité

C’est officiel, on pourra skier cet hiver

Début octobre déjà, Jean-Baptiste Lemoyne, Secrétaire d’Etat chargé du Tourisme, s’était voulu rassurant, indiquant que les remontées mécaniques seraient ouvertes. Ce n’était pas le cas l’année dernière, la fermeture des remontées mécaniques a coûté plusieurs milliards d’euros aux fabricants et commerces de ski.

Il invite également les Français à réserver. « Cet hiver, c’est ouvert, les stations de ski sont ouvertes »

En France, on peut déjà skier depuis le 16 octobre 2021. C’est en effet à cette date que les premières pistes de ski sur glacier ont ouvert cette année à Tignes. Suivront ensuite, selon les conditions d’enneigement, les 2 Alpes, Val Thorens, Montgenèvre, Chamonix et bien d’autres. Toutes les stations de ski et leurs domaines skiables auront ainsi ouvert leurs pistes le 18 décembre 2021.

Quel protocole sanitaire en stations de ski ?

Les stations françaises sont soumises aux mêmes règles que le reste du pays : le masque sanitaire est requis dans les espaces clos et le pass sanitaire européen est obligatoire pour accéder à certains espaces clos fréquentés comme les bars, restaurants et musées.

Ainsi, pour accéder à certains services, le passe sanitaire européen est demandé et le masque sanitaire est requis dans les espaces clos. C’est le cas dans les restaurants, bars, musées, cinémas, salles de spectacle, salles fitness, piscines et pour certains hébergeurs qui proposent ces prestations. Par ailleurs, le masque vous sera demandé dans les intérieurs communs (commerces, certains restaurants, couloirs et accueils…) et dans les transports. Il faudra également porter un masque sur certaines remontées mécaniques (cadre non encore défini).

Ces mesures pourraient être précisées au cours de l’hiver en fonction de la situation sanitaire.

A noter que le masque anti-projections (de type « chirurgical ») suffit. En effet, contrairement à l’Autriche, le masque FFP2 n’est pas obligatoire.

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Le tourisme parisien renoue avec sa vitalité d’avant le Covid

Le tourisme dans le Grand Paris est en pleine renaissance : 11,6 millions de visiteurs en 2023 selon le site : www.paris.fr

À l’occasion du bilan des deux ans des Assises du Tourisme durable, les responsables du tourisme à Paris ont révélé des chiffres encourageants pour l’année en cours. De janvier à avril 2023, la Ville Lumière a accueilli 11,6 millions de touristes, marquant une remarquable augmentation de 27,2 % par rapport à 2022 (9,1 millions) tout en enregistrant une légère baisse de 2,5 % par rapport à 2019 (11,9 millions).

Les visiteurs français continuent de dominer la scène touristique parisienne, mais ce sont les touristes américains qui se démarquent par leurs dépenses substantielles. Ces données sont particulièrement prometteuses à un an des Jeux de Paris 2024.

Des chiffres clés :

  • 11,6 millions de visiteurs de janvier à avril 2023, soit une augmentation de 27,2 % par rapport à 2022.
  • Légère baisse de 2,5 % par rapport à 2019 (11,9 millions).
  • 53,3 % des visiteurs à Paris sont de nationalité française.

Les nationalités les plus représentées :

  • Américains (13,1 %)
  • Britanniques (7,0 %)
  • Allemands (5,8 %)
  • Italiens (4,9 %)
  • Brésiliens (4,6 %)

Prévisions pour l’été 2023 :

Les prévisions d’arrivées aériennes pour juin, juillet et août 2023 indiquent une croissance de 27,6 % par rapport à 2022, mais une légère diminution de 6,1 % par rapport à 2019. Cela équivaudrait à plus de 1 237 200 arrivées étrangères. En 2023, le Grand Paris pourrait accueillir plus de 37 millions de touristes, tout juste en dessous des chiffres de 2019 (38,5 millions).

Des dépenses touristiques en hausse :

Entre avril 2022 et mars 2023, la dépense moyenne des touristes internationaux en dollars a dépassé les niveaux de 2019, atteignant une moyenne de 390 $, comparée à 356 $ sur une période similaire avant la pandémie. Les Américains sont en tête, avec une dépense moyenne de 703 $, suivis des Espagnols (526 $), des Britanniques (406 $) et des Suisses (417 $).

Tourisme d’affaires en retrait :

La part des nuitées d’affaires au premier trimestre 2023 dans le Grand Paris est estimée à 42,3 %, en baisse de 9,7 points par rapport à 2019 (52 %). Les retombées économiques des congrès à Paris et sa région se sont élevées à 1,23 milliard d’euros, en hausse par rapport à 2021 (724 millions) mais en deçà de 2019 (1,47 milliard).

Prêts pour les Jeux de Paris 2024 :

L’Office de tourisme prévoit 15,9 millions de visiteurs cumulés pour les Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, avec une occupation prévisionnelle des hébergements marchands entre 60,1 % et 82,6 %. Une estimation optimiste qui dépendra de la vente de la totalité des billets.

Paris se tourne vers un tourisme durable :

La Ville de Paris s’engage résolument dans une approche de tourisme durable avec plusieurs initiatives, dont la réduction de l’usage du plastique à usage unique, le développement du cyclotourisme, et une charte pour des pratiques d’accueil durables et écoresponsables.

Vie nocturne responsable :

Paris travaille également sur une vie nocturne basée sur la bienveillance, la responsabilité et le vivre-ensemble en collaborant avec des établissements de nuit engagés pour la prévention des nuisances sonores et la lutte contre les violences sexistes et sexuelles.

Les événements majeurs en 2023 :

  • Coupe du monde de rugby 2023 (8 septembre – 28 octobre)
    Paris se prépare à accueillir cet événement mondial avec un village dédié sur la place de la Concorde.
  • Exposition olympique SPOT24
    Une exposition permanente et des animations temporaires mettront en avant les nouvelles disciplines olympiques.

La Ville de Paris s’efforce ainsi de maintenir son attractivité tout en promouvant un tourisme responsable et durable pour l’avenir.

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La compagnie aérienne Air Belgium cesse son activité passagers

La compagnie aérienne Air Belgium a annoncé lundi qu’elle mettrait fin à ses opérations passagers en raison de leur rentabilité faible « chroniquement non rentable », principalement à cause de la concurrence féroce sur le marché. La société se concentrera désormais exclusivement sur le transport de fret (cargo) et l’ACMI (Affrètement d’Avions pour d’autres Compagnies Aériennes), des secteurs qui offrent de solides perspectives de croissance.

Le conseil d’administration de la compagnie a également pris une décision importante en introduisant une procédure de réorganisation judiciaire par accord amiable auprès du tribunal de l’entreprise. Cette démarche vise à faire face à la dette de l’entreprise, à rétablir sa rentabilité et à permettre une réorganisation en profondeur. La demande sera examinée par le tribunal dans les jours à venir, et si elle est approuvée, Air Belgium pourra entamer des négociations avec ses créanciers en vue de réduire sa dette.

La compagnie a tenu à préciser que cette procédure de réorganisation judiciaire vise uniquement à garantir la pérennité de l’entreprise et qu’aucun impact n’est prévu sur son entité juridique.

En ce qui concerne les employés liés à l’activité passagers, Air Belgium s’engage à maintenir leur emploi pendant la procédure de réorganisation et au-delà. La direction envisage de les réaffecter progressivement à d’autres fonctions au sein de l’entreprise.

Quant aux conséquences pour les réservations de vols, les clients qui ont déjà acheté un billet pour des vols programmés avant le 3 octobre verront leurs voyages assurés. De plus, les vols retour seront pris en charge par Air Belgium elle-même ou par d’autres compagnies aériennes partenaires. Cependant, pour les vols programmés après cette date et déjà payés, ils seront malheureusement annulés et les clients seront remboursés.

Il est à noter que cette décision de mettre fin aux vols passagers affectera environ 20 000 voyageurs qui avaient prévu de se rendre en Afrique du Sud et à l’île Maurice après le 3 octobre.

Fondée en 2016, Air Belgium emploie actuellement environ 500 collaborateurs qui contribuent à son fonctionnement.

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Les réservations Airbnb chutent à New York avec les nouvelles règles sur les courts séjours

La ville de New York a changé ses règles en matière de locations de courte durée, afin de limiter l’offre de locations saisonnières pour les touristes et de permettre aux New-Yorkais de se loger plus facilement selon The Guardian.

Désormais, les locataires à court terme devront s’inscrire auprès de la ville et être présents dans le logement pendant toute la durée de la location.

Airbnb a annoncé qu’elle avait dû cesser d’accepter certaines réservations à New York après l’entrée en vigueur de cette nouvelles réglementations sur les locations à court terme.

Les locations de moins de 30 jours ne sont autorisées que si les hôtes s’enregistrent auprès de la ville. De plus, les hôtes doivent s’engager à être physiquement présents dans le logement pendant toute la durée de la location, en partageant les espaces communs avec leurs invités. Plus de deux invités à la fois ne sont pas autorisés, ce qui signifie que les familles sont pratiquement exclues.

Airbnb n’est pas la seule plateforme a être visé. VRBO ainsi que toutes les autres ne sont pas autorisées à traiter les locations pour des hôtes non enregistrés. La ville affirme avoir approuvé un peu moins de 300 des plus de 3 800 demandes reçues.

Les responsables de la ville et les défenseurs du logement qui avaient poussé en faveur de ces restrictions estiment qu’elles sont nécessaires pour empêcher les appartements de devenir de facto des hôtels.

« À New York, les appartements résidentiels doivent être utilisés à des fins résidentielles », a déclaré Murray Cox de Inside Airbnb, un groupe de défense du logement qui collecte des données sur la présence de la société dans des villes du monde entier.

Airbnb a combattu ces règles en justice, arguant qu’elles équivalaient essentiellement à une interdiction et qu’elles nuiraient aux visiteurs à la recherche d’un hébergement abordable.

Le directeur mondial de la politique de l’entreprise, Theo Yedinsky, a qualifié les changements de règles de coup dur pour « les milliers de New-Yorkais et les petites entreprises des quartiers extérieurs qui dépendent du partage de logements et des dollars du tourisme pour joindre les deux bouts ».

« La ville envoie un message clair à des millions de visiteurs potentiels qui auront désormais moins d’options d’hébergement lorsqu’ils visiteront New York : ‘Vous n’êtes pas les bienvenus' », a-t-il déclaré.

Cependant, la société a été contrainte de se conformer aux nouvelles règles et a annoncé qu’elle avait cessé d’accepter de nouvelles réservations à court terme de la part de tout hôte n’ayant pas fourni de numéro d’enregistrement auprès de la ville ou de documentation attestant qu’il était en cours de traitement depuis le 21 août. Une fois que le système de vérification de la ville sera pleinement opérationnel, Airbnb affirme qu’aucune annonce à court terme ne sera autorisée sur son site sans numéro d’enregistrement.

Airbnb comptait encore 38 500 annonces actives de logements non hôteliers à New York en janvier dernier, et certains hôtes de logements plus petits estiment qu’ils sont injustement ciblés et assimilés à de plus grands immeubles d’appartements.

Les réglementations ont été adoptées par la ville en janvier de l’année dernière mais ont été retardées par des actions en justice jusqu’au mois dernier.

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